Des chasseurs de train français qui savaient que la Slovénie offrait d’excellentes opportunités. Quel train les a particulièrement attirés ?

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« Dans votre pays, sur l’axe nord-sud européen, il y a des wagons complètement différents de ceux auxquels nous sommes habitués des chemins de fer français. Martin Mučič nous a aidés à déchiffrer le but de certains des wagons, que nous avons vus avec les wagons en ciment dans la composition, destinée selon toute vraisemblance à Salonit à Ancho, que nous n’avons pas reconnue. Il nous a dit qu’ils conduisent des scories. Sinon, nous trouvons une valeur esthétique dans chaque composition, même celles avec des wagons vides. Bien sûr, la composition variée de un train avec des wagons différents ou avec des conteneurs colorés est plus accrocheur que les wagons vides », décrivent avec enthousiasme les « chasseurs de trains » français Philippe Veyre et Alexis Garnie.

Le premier s’occupe de la logistique dans une grande entreprise de distribution, le second est professeur de mathématiques. Pendant les vacances ou les vacances, ils partent souvent en train de chasser ensemble, comme ils appellent leur passe-temps.

Philippe Veyre et Alexis Garnier se sont consacrés au cadrage, à la recherche du bon éclairage et à l’évitement des « déchets » photographiques tout en suivant le trafic voyageurs et fret sur les lignes Bohinj et Koper.

Désirée Perrault

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