« On ne sait jamais si on n’essaie pas » raconte le jeune homme de 27 ans à propos de ses dernières « aventures » musicales. Peter Lackovic, originaire de Šempas. Ancien élève de l’école de musique Nova Gorica c’est après avoir terminé ses études au Conservatoire de musique et de ballet de Ljubljana, il a poursuivi ses études à l’Académie de musique de Ljubljana et au Conservatoire d’État de musique d’Amsterdam, qui c’est également complété avec succès. L’année dernière, le hautbois de Gori surprend agréablement avec de nouveaux succès extraordinaires : en décembre 2021 c’est a convaincu le jury international du 3ème festival de musique française par son talent compétitionsoù c’est remporte le premier prix peu de temps après c’est a également excellé à l’audition pour l’adhésion prestigieuse au Dutch Youth Orchestra, où c’est est même devenu le premier hautbois. Il rassemble avec persistance et admirablement de nouvelles expériences créatives également dans d’autres compositions orchestrales et donne des concerts avec eux dans des salles telles que Concertgebouw et Alepdoor aux Pays-Bas, Konzerthaus à Berlin, Central Concert Hall à Séoul, Corée du Sud. Il vante également le fait que c’est sur la liste de réserve de l’Orchestre Européen des Jeunes (européen Jeunesse Orchestre) et même sur la liste de réserve pour l’orchestre Verbier festival de Suisse, l’un des plus importants d’Europe. Son talent a été reconnu même dans l’Orchestre Symphonique du Mexique (Orqueste Sinfonica de Xalapa), ce qui pour lui c’est offert de jouer le premier hautbois.
« Je n’imaginais pas que mon chemin me mènerait de cette façon. Tout d’abord, à Amsterdam, qui était mon grand rêve. J’ai toujours voulu étudier à l’étranger et j’ai toujours été très sympathique à étudier à Amsterdam. J’étais excité. c’est la ville elle-même, mais aussi sa culture et, bien sûr, les orchestres locaux. Une fois que vous y êtes, vous ne pouvez pas y croire c’est c’est même possible. Alors tu fais c’est La Corée du Sud est arrivée cette année, ce qui n’a jamais été dans mes plans. J’ai auditionné avec succès pour position un académicien dans l’Orchestre symphonique national, je savais que c’est très bon au niveau international aussi. Des musiciens exceptionnels jouent dans cette composition, parmi lesquels le hautboïste qui se démarque assurément c’est étudié à Francoix à Leleuxl’un des plus grands hautbois de notre temps et c’est était aussi un académicien de Bamberg symphonistes. J’ai été accepté et j’ai donc passé un mois à Séoul, face à un orchestre dans lequel l’éthique de travail des membres de l’ensemble est surprenante, ainsi que leur admirable précision. L’orchestre a plus de 160 projets et concerts différents chaque année. Je suis très heureuse et aussi reconnaissante de cette expérience, m’a-t-elle dit c’est horizons, j’ai appris à connaître une culture différente, des musiciens exceptionnels du monde entier et des Coréens très sympathiques, cultivés et qui ont vraiment beaucoup à vous offrir. » c’est son histoire coréenne d’été a été décrite par Lacković, qui c’est à cette occasion a également découvert la culture K-pop.
« K-pop c’est présent à chaque étape, et à l’un des ateliers on nous a présenté la possibilité ou l’envie de créer un orchestre K-pop dans le futur, avec lequel on pourrait voyager à travers le monde, accompagner différent groupes et de cette manière entrelacé K-pop et musique classique. Alors peut-être que le hautbois trouvera bientôt sa place dans ce genre. » nous c’est toujours confiance avec un sourire c’est Pierre.
Un musicien c’est maintenant de retour à Amsterdam, où il participe à un projet avec les Néerlandais Phion orchestre, avec lequel ils ont cinq concerts dans différentes salles, dont la salle de concert centrale Concertgebouw. Parallèlement, il réalise de nombreuses auditions, entre autres pour le deuxième hautbois v Höfer Symphonie et pour le solo du joueur de cor anglais dans au Gewandauorchester à Leipzig, et prépare déjà un nouveau concours en Suisse.
Malgré l’accumulation intensive d’expériences pour conquérir le profil orchestral dans une grande variété d’ensembles à travers le monde, Peter s’assure de sortir régulièrement avec des amis et de s’amuser : « Aussi c’est à savoir, très important, car vous devez vous éloigner du travail de temps en temps. Enseigner la musique c’est à savoir, raconter votre histoire ou avouer votre personnalité et vos souvenirs. »
Mais comment maintient-il sa condition de jeu avec un emploi du temps plutôt chargé ? « Je fais beaucoup d’entraînements autogènes et d’exercices de respiration, qui m’aident à me préparer mentalement au défi. La technique de respiration cohérente m’y aide. Mais c’est important c’est aussi une projection de la façon dont vous allez jouer. »
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