La performance spatiale des Slovènes dans une soucoupe volante (Spodek Hall) à Katowice a apporté une grande victoire contre les hôtes du championnat du monde de Pologne. Il était 32h23 (17h11). équipe nationale Uroš Zorman elle a donc déjà obtenu au moins deux points, qu’elle transférera au principal à Cracovie. Lundi, elle voudra surprendre la France et faire un grand pas vers les quarts de finale à Cracovie.
« Je suis fier de mes joueurs qui ont montré comment se battre pour l’équipe nationale. Nous avons fait ce que nous voulions faire. Le match contre la France sera plus facile pour nous car il n’y aura pas de pression. Nous n’avons rien à perdre, mais beaucoup à gagner. Nous n’aborderons certainement pas le match avec un drapeau blanc », a déclaré Zorman plus que satisfait, qui a surpris la Pologne lorsqu’il a laissé l’attaquant circulaire au milieu du terrain plus dans le jeu avec le joueur, de sorte que le l’ailier central au pied rapide avait plus d’espace dans l’attaque.
Les Slovènes ont fait preuve d’un bon esprit d’équipe. PHOTO : Anže Malovrh/Kolektiff
Pendant de nombreuses années, la Slovénie n’avait pas montré une performance aussi excitante devant 10 000 fans polonais qui pouvaient regarder en silence le trafic à sens unique. « On n’a pas aussi bien joué depuis au moins cinq ans, je dirais par cœur. On a fait ce qu’on s’était engagé à faire. On peut aller très loin avec ce genre de défense, on a aussi été efficaces en attaque. Un spectacle fantastique, » il a dit Borut Mačkovšek.
Alex Vlah : « Battre un local dans une salle comble, c’est quelque chose de spécial. Mais il ne faut pas voler trop haut, de peur de tomber bas. Ce qu’on a fait aujourd’hui et ce qu’on est contre l’Arabie saoudite, il faut l’oublier et se préparer pour les Français. Les Français nous sous-estimeraient, ils ne le feront certainement pas. Je suis fier que nous ayons justifié l’invitation à ce championnat. »
Les supporters slovènes étaient ravis. PHOTO : Slavko Kolar
Blaz Janc, joueur du match : « C’est comme ça que tu joues pour ta patrie, c’est comme ça que tu joues pour la Slovénie. » Si nous abordons chaque match avec ce genre d’énergie, nous n’avons rien à craindre et le résultat viendra tout seul. Je pouvais sentir l’énergie positive, mais je n’étais pas sûr de ce à quoi cela ressemblerait dans la pratique. Je suis plus qu’heureux. Nous sommes chaque jour plus connectés. »
Pologne : Slovénie 23:32 (11:17)
Spodek Hall, 9999 spectateurs, juges Horaček et Novotny (République tchèque).
Pologne: Morawski (4 arrêts), Skrzyniarz (2) ; Pietrasik 2, Daszek 2, Jedraszczyk, Olejniczak 3, Walczak 2, Bis, Sičko 2, Czuwara 1, Moryto 6 (4), Krajewski 1, M. Gebala 1, Dzialakiewicz 2, T. Gebala 1, Chrapkowski ;
Slovénie : Lesjak (1 arrêt), Baznik (5) ; Blagotinšek 3, Janc 5, Dolenec 7 (5), Cehte, Kodrin 3, Žabić 1, Horžen, Mazej, Ovniček 2, Makuc, Bombač 2, Mačkovšek 2, Novak 1, Vlah 6 ; filles de sept mètres: Pologne 4 (4), Slovénie 5 (5) ; exclusions : Pologne 10, Slovénie 12.
Jure Dolenec, capitaine : « Nous voulions tous que ce déménagement se produise plus tôt, mais mieux vaut tard que jamais. Certaines choses prennent du temps. Nous avons montré que nous étions capables de jouer au top handball. Nous allons contre la France avec la même énergie et nous verrons ce que cela nous apporte. »
Dean Bombac : « Tu vis pour des matchs comme celui-là, tu viens, tu joues, tout devient calme et tu profites du théâtre. Génial !
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