Les organisateurs des Jeux olympiques de Paris 2024 ont annoncé avoir vendu à ce jour un tiers de tous les billets pour la compétition, soit 3,25 millions. Mais en même temps, ils sont critiqués pour avoir vendu des forfaits de billets et des prix élevés. Chef du comité organisateur, ancien excellent canoéiste, Tony Estanguet en révélant les chiffres de vente des billets, il a également défendu le modèle de vente, critiqué en France pour ses prix élevés.
Dans la première partie de la vente, seuls les billets étaient disponibles en forfaits, lorsque les fans devaient acheter des billets pour au moins trois branches différentes. Le prix moyen était de 300 euros, donc pour une famille de quatre personnes, le coût dépassait facilement le millier d’euros, écrit l’AFP. Dans la deuxième phase de vente, qui débutera le 11 mai, il sera également possible d’acheter des billets individuels. En termes de prix, cependant, les ratios ne changeront pas de manière significative, car des compétitions plus désirables, telles que les finales de basket-ball et d’athlétisme, seront également disponibles à ce moment-là.
Les prix des billets pour la finale de basket oscillent entre 80 et 980 euros. Les billets pour les cérémonies d’ouverture et de clôture, ainsi que ceux pour les compétitions sportives finales, sont parmi les plus recherchés. La fourchette de prix des billets d’athlétisme se situe entre 125 et 980 euros. Malgré les prix élevés, ils s’attendent à beaucoup d’intérêt, donc ceux qui veulent les acheter auront jusqu’au 20 avril pour s’inscrire à une liste, à partir de laquelle les acheteurs seront ensuite tirés pour 1,5 million de billets.
Les billets les plus chers seront ceux de la cérémonie d’ouverture, qui se déroulera sur la Seine à Paris. Les fans devront débourser 2 700 euros pour les meilleures places du front de mer avec une vue imprenable sur l’action. Comme l’AFP l’ajoute, ils se défendent à Paris que leurs prix de billets soient comparables à ceux de Londres 2012, compte tenu de l’inflation. Ils étaient moins chers à Rio 2016, mais plus chers à Tokyo 2020, mais les fans couronne ils ne pouvaient même pas profiter des restrictions.
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