Rétrospective de Shepard Faireyqui est plus large au public connu comme l’auteur de la célèbre affiche de campagne de Barack Obama et de la marque reconnaissable OBEY (Obey), porte le titre 1001 Les raisons Ce (Dis)OBEY : l’art de Shepard Fairey.
« Vue sur le street art (dans le musée Guimet) témoigne du fait que ce musée n’est pas un lieu figé dans une certaine esthétique – il peut accepter tout type d’art, » est pour un journal français Le Figaro dit le commissaire de l’exposition Jérôme Catz. « En tant que couple d’artistes dévoués excellence (Fairey) à travers son travail explore les thèmes de la justice, des droits des minorités, de l’écologie et du pouvoir des lobbies. Il met également en avant des personnalités du monde de la musique, du skate et de l’art en général, » ils ont écrit dans Umetnostne centre Débris spatiauxqui organise l’exposition en partenariat avec la ville de Lyon.
Avec l’affiche susmentionnée de la campagne électorale d’Obama en 2008, intitulée Espoir (Hope), son travail est également connu Marianne avec un slogan français Liberté égalité fraternité. Fairey a fait « créé comme un signe de soutien à la France après les attentats du 13 novembre. Liberté égalité fraternité a été fait plus pour les Français comme pour tout homme politique, j’espère donc qu’il incarne cette idée que le symbole est de faire du bien à tous, à tous les citoyens« . À partir de 2017 Fairey’s Marianne est accrochée dans le bureau présidentiel du président français Emmanuel Macronqui a également rencontré l’artiste en 2019.
Esthétique hip hop et propagande communiste
Né Shepard en 1970 à Charleston, Caroline du Sud Fairey est dans son adolescence comme skateur en herbe s’est intéressé à l’art et punk osciller. Déjà au milieu des années 80 du siècle dernier, il a commencé à créer des images pour des t-shirts et des skateboards selon les souhaits de ses amis. Il est diplômé en 1992 sur Rhode Island École de Conception (RISD). Ils étaient son travail même alors inspiré l’esthétique hip hop et la propagande communiste, d’où son affinité à l’usage du rouge, caractéristique de ses œuvres. Andy Warhol, Alexandre Rodtchenko et Barbara Kruger et sont les noms artistiques centraux auxquels il s’est intéressé.
Fairey’s sa carrière s’est accélérée lorsqu’il a créé des pochoirs et des autocollants à l’effigie du lutteur français André Roussimoffconnu comme André Le Géant. En 1998, il crée sa première campagne Obéir Géantet les autocollants en question se sont répandus à travers les États-Unis comme feu, il n’a pas fallu longtemps pour qu’ils soient vus partout dans le monde.
Bien que Fairey Contrairement à Banksy il n’a pas caché son identité, il a décidé de créer sous le pseudonyme OBEY, dont il est référence sur film Jean Charpentier Ils En direct (1988). C’est un commentaire politique, basé sur la politique économique du président américain à l’époque Ronald Reagan et ce que Carpenter a vu comme la commercialisation croissante dans la culture populaire et la politique de l’époque.
En écrivant l’art qui ouvre les discussions
Après Les Fairey dans les mots de son OBEY aborde les thèmes de l’obéissance et de la soumission dans nos sociétés : « Les gens se soumettent, s’adaptent et ne remettent pas en cause les règles silencieuses de la société. Quand on leur dit d’obéir, ils doivent considérer ce à quoi ils sont prêts à se soumettre. C’est donc une façon d’amener les gens à réfléchir davantage et à analyser davantage les choses.« Cette idée résonne tout au long de son œuvre, tant il donne à son art une dimension politique, et ses œuvres mettent souvent en lumière les dysfonctionnements de notre société.
« J’appelle mon art propagande parce que je crois que tout art qui défend certains objectifs contient des éléments de propagande. (…) Il y a une différence entre la propagande au sens sinistre du terme, qui veut avoir le dernier mot dans la conversation, et l’art, qui veut ouvrir une discussion.«
Sur ça fait des années Fairey a exploré un large éventail de thèmes dans ses œuvres, y compris l’écologie et les valeurs militantes, cherchant toujours à entrevoir le changement et à remettre en question l’autorité. Mais il n’a jamais tourné le dos à la dimension commerciale de son travail et s’en est tenu à cet aspect sur différentes façons. Entre autres, il a conçu des vêtements et des pochettes d’albums pour des groupes et des musiciens, comme ils sont Led Zeppelin, Gamelle Une idole, Le Fracassant Citrouilles, Flagellation Molly, Le Noir Aux yeux Petits pois et Temple de pierre Pilotes.
A l’exposition de Lyon, qui est sur visualisation jusqu’au 9 juilletest également un grand objectif sur médiation culturelle, car elle sera accompagnée de nombreuses conférences et d’orientations pour le publicégalement pour les jeunes de l’école.
« Future teen idol. Zombie evangelist. Friendly pop culture junkie. Maddeningly humble TV intellectual. Thinker. »