« Bruit insupportable »: un homme appelle la police à cause du coassement fort d’une grenouille



Les grenouilles peuvent être assez bruyantes. Mais appeler la police pour cela semble un peu excessif. (La photo est symbolique.) Photo : Pixabay

Dans une petite ville Frontex dans une dispute inhabituelle a éclaté dans le département de la Savoie : la police a été appelée par un homme qui se plaignait du « bruit insupportable » fait par les grenouilles dans jardin du voisin et à cause duquel il ne pouvait pas dormir. Les gendarmes n’ont eu d’autre choix que de frapper à la porte de l’homme de 92 ans Colette Ferry et ils l’avertissent de « fermer » ses grenouilles.

La vieille femme, comme l’a rapporté la station de radio locale dans le British Guardian, les a informés que les grenouilles n’étaient pas les siennes, mais qu’elles dans son étang, qui est par ailleurs la maison de ses animaux de compagnie, les poissons, qui ont immigré de leur propre chef. « Ils sont là tout le temps, sautant dans dans et hors de l’eau et jouer avec les poissons. C’est tout pour moi dans amusant, » dit-elle avec défi dans la radio. « Un homme est entré ici et m’a crié très fort qu’il ne pouvait pas dormir et qu’il devait dans un travail. Mais je ne m’attendais pas à des gendarmes. Même pas à cause des grenouilles ! »

« Il y a toujours quelqu’un quelque part qui se plaint de quelque chose que quelqu’un d’autre a fait » conclut philosophiquement la jeune Française. Selon le Guardian, c’était dans ces dernières années dans La France compte de nombreux cas où (généralement des nouveaux arrivants) se sont plaints de « pollution sonore ». Dans la plupart des cas, les pommes de la dispute étaient des animaux domestiques qui gargouillaient, bavardaient, meuglaient ou bêlaient trop fort, dans dans certains cas, la raison des plaintes était la sonnerie des cloches de l’église.

Les débats ont culminé en 2019, avec le procès d’un coq chantant trop fort Mauricequi a réveillé le voisin à 6h30. La procédure judiciaire a également fortement bouleversé les militants des droits des animaux, qui ont recueilli des signatures pour une pétition avec laquelle ils voulaient sauver le coq, mais au final dans le tribunal a également tranché en sa faveur, et le voisin en colère, qui a demandé justice (ou le silence) au tribunal pendant deux ans, s’est finalement vu attribuer 1 000 euros supplémentaires de dédommagement, qu’il a dû verser au propriétaire du coq en plus du tribunal frais.

La même année, une Française a également comparu devant le tribunal Dominique Douthe, qui a été poursuivie par un voisin à cause de ce qu’il croyait être des caquètements insupportables causés par ses canards et ses oies. Le tribunal a conclu que la publicité « dans des limites acceptables« .

Il y a deux ans, le Sénat français a alors adopté une loi qui protège « sons et odeurs normaux » la campagne. « La vie à la campagne apporte avec elle quelques désagréments,» a déclaré le ministre des Affaires rurales au moment où la loi a été approuvée Joël Giraud.

Colette Ferry, 92 ans, quant à elle, s’amuse beaucoup avec le complot de la grenouille coassante. Comme elle l’a ajouté, elle attend avec impatience la prochaine visite des gendarmes ou de quiconque sera envoyé pour enlever les grenouilles : « Ce sera drôle … parce qu’ils sautent. »

Damien Dupont

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