Documents Uber : qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce que Macron a fait exactement pour Uber ?

FICHIERS UBER. Une enquête du Consortium international des journalistes d’investigation diffusée le 10 juillet revenait sur la fondation de l’organisation de VTC Uber en France, révélant des stratégies impitoyables et l’association d’Emmanuel Macron.
Les documents Uber, un examen du Consortium international des journalistes d’investigation diffusés le 10 juillet 2022, font la lumière sur les actes de l’organisation américaine Uber à s’implanter en France.
Selon les documents d’Uber, Emmanuel Macron serait associé à la fondation d’Uber en France et aurait utilisé, entre 2014 et 2016, son poste de ministre de l’Économie pour aider les lobbyistes.
La campagne coordonnée par Uber dépasserait Emmanuel Macron et inclurait plus de 200 personnalités politiques ou médiatiques.
Les documents d’Uber révèlent également des répétitions de la restriction de légalité vers laquelle l’organisation Uber aurait eu recours, notamment l’utilisation du « bouton d’arrêt » – une crise entravant les informations privilégiées de l’organisation – pour échapper au regard de la police.
L’objectivité des investigations d’Augustin Landier et de Nicolas Bouzou interroge la réalité de la pensée monétaire favorable garantie par Uber. Qui plus est, si les examens font les délices de la société, qui profite de l’ubiquité qu’ils lui apportent, le mode logique n’est pas convaincu et fustige la démarche des analystes d’affaires mettant en cause le secret de l’information qui empêche la confirmation des chiffres ou la reconnaissance de la prédisposition d’un ami. « L’instruction ne doit pas être dirigée lorsque l’information est dissimulée ou lorsque ses périmètres d’investigation sont caractérisés par des entreprises privées », ont démontré de nombreux spécialistes de la finance dans une rubrique diffusée en 2020 sur Medium. Néanmoins, Augustin Landier Nicolas Bouzou qui, ainsi que composer des études idéales pour Ube, a gardé l’organisation dans les médias. Une aide qui pourrait également être versée, mais Nicolas Bouzou dément que Le Monde ait été payé pour faire avancer Uber. Parmi les personnages engagés dans la stratégie de campagne d’Uber figurent les experts financiers français Augustin Landier et Nicolas Bouzou. Le premier répond à la proposition de l’organisation américaine et distribue un concentré en 2016, qui détermine qu’il s’agissait d’une demande d’Uber, et qui vante le modèle monétaire proposé démontrant que les chauffeurs se procureraient pratiquement le double du salaire le plus bas autorisé par la loi sans indiquer qu’il démontre des les chiffres avant la dérivation des coûts divers et coûteux. Forte du palmarès et du titre de « meilleur jeune expert financier » remporté deux ans après les faits par Augustin Landier, la revue traque un écho dans la presse française et internationale. De même en 2016, l’éditorialiste financier et éditorialiste Nicolas Bouzou a également diffusé une étude qui garantit que la société Uber, si elle bénéficiait d’une réglementation plus souple, pourrait créer plus de 100 000 postes. En tout cas, en contrepartie des examens, les spécialistes de la finance ont été payés par Uber à hauteur de 100.000 euros pour Augustin Landier et son co-créateur et « 10.000 euros hors frais » pour Nicolas Bouzou précise Le Monde.

12:07 – La technique de campagne plus étendue d’Uber découverte par les documents d’Uber
En supposant qu’Uber s’est parfois rapproché d’Emmanuel Macron pour protéger son entreprise et se mettre à l’aise sur le marché français, il s’est également concentré sur de nombreux autres personnages. Dans les rapports des documents Uber conseillés par le Consortium international des journalistes d’investigation, dont le journal complice Le Monde, on trouve un tableau Excel affichant 233 noms de prêtres, conseillers politiques, parlementaires, chroniqueurs, délégués d’affiliations clients qui pourraient représenter les intérêts de l’organisation. Pour chacun, une méthodologie est mise en place selon la capabilité, la « pertinence pour Uber » et « les contacts ». Le rapport propose ainsi qu’en arrière-plan Uber bénéficierait des avantages

11h50 – Pourquoi Emmanuel Macron a-t-il passé un accord avec Uber ?
En gardant Uber, Emmanuel Macron était en contradiction avec le courant de l’autorité publique, généralement têtu à la culture américaine. Cependant, l’accord avec l’organisation a procuré quelques avantages à Emmanuel Macron : en faisant ressembler l’abandon d’UberPop à sa volonté et à une de ses activités, le législateur a semblé donner une réponse à l’urgence sociale et à l’indignation des taxis tout en acceptant pendant un moment que son envie de garder le développement. L’énarque dont le nom n’était pas encore notable acquiert alors perspicacité et poids dans les questions législatives.

11h24 – Quel métier pour Emmanuel Macron dans la restriction des Ubers dans les Bouches-du-Rhône ?
En 2015, l’organisation américaine Uber avait payé les frais d’une demande donnée par le préfet de police de Marseille d’alors, Laurent Nunez, interdisant Uber dans un énorme morceau du Bou

11:09 – Emmanuel Macron a-t-il dénoncé la DGCCRF pour Uber ?
Un examen et une perquisition de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) portant sur Uber est en outre référencé dans les documents Uber et le nom d’Emmanuel Macron y est associé. En 2014, alors que les responsables de l’organisation s’attendaient à une poursuite par des spécialistes du corps soumis à Bercy, ils ont demandé à l’ecclésiastique de tendre la main. Lequel s’est engagé à avoir « une conversation spécialisée » avec les examinateurs comme l’indique un rapport rédigé par Uber. En tout cas, quand un demi-mois après les faits les locaux d’Uber à Lyon et son camp de base à Paris ont été frappés, le vice-président du personnel d’Emmanuel Macron, Emmanuel Lacresse, a répondu à l’indignation d’Uber en donnant du sens au « Monde ».

10:54 – Une touche de décor autour d’UberPop
L’arrangement entre Emmanuel Macron et Uber est simple : travail avec accès à la capacité de chauffeur VTC contre abandon d’UberPop. L’administration d’Uber, qui simplifiait que les gens deviennent des conducteurs périodiques et qui incitait à l’indignation et à la grève des taxis, n’était pas célèbre et sa légitimité était évoquée. L’entente confirmant la fin d’UberPop a permis à Emmanuel Macron de stopper l’urgence et de justifier la manifestation des taxis, un renversement politique productif pour l’ecclésiastique. Juste, l’assistance était auparavant considérée comme illégale dans d’autres pays et l’organisation Uber envisageait alors d’arrêter l’assistance avant l’arrangement selon l’examen.

10h35 – L’autorité publique consciente de l’entente entre Emmanuel Macron et Uber ?
Montée en toute prudence, l’entente entre Emmanuel Macron est montée aux oreilles de Bernard Cazeneuve et Manuels Valls alors ministre de l’Intérieur et Premier ministre. L’habitant de Bercy les a sensibilisés à l’engagement : travailler avec l’admission à l’appel des chauffeurs contre l’arrêt d’UberPop. Emmanuel Macron a également garanti Travis dans un SMS vu par Le Monde en général : « [Bernard] Cazeneuve veillera à ce que les taxis se taisent et je réunirai tout le monde d’ici une semaine pour mettre en place le changement et redresser la loi. [Cazeneuve] a reconnu le arrangement. » Contacté par le journal, l’ancien pasteur communiste a déclaré qu’il n’avait jamais été informé de la compréhension.

10:26 – Derrière les lieux de l’entente entre Emmanuel Macron et Uber
Selon les échanges entre Emmanuel Macron et son bureau et les lobbyistes à la tête d’Uber, rappelés pour les documents d’Uber, le chef de l’État à l’époque ministre de l’Économie a proposé à l’organisation américaine de donner « des clés de changement de proximité » au Le nommé communiste Luc Belot, s’est opposé à UberPop mais soutient l’organisation VTC, comme l’indique Le Monde. Lors de la présentation des textes à l’Assemblée, le représentant a reconnu avoir conservé en l’état les corrections rédigées par Uber, laissant entendre qu’elles étaient conformes à leur substance. Les textes sont licenciés, comme l’ont arrangé Emmanuel Macron et Luc Belot, pourtant, vers le début de l’année 2016, l’occupant de Bercy a pris le contrôle des corrections pour lui dans une déclaration qui a radicalement diminué la durée de formation des chauffeurs VTC. Un choix qui s’est accompagné de l’abandon par Uber du projet UberPop.

10:15 – La « loi Macron 2 » conséquence d’un « marché » avec Uber
Selon les archives d’Uber, un grand nombre de rapports internes d’Uber, envoyés sans nom au journal britannique The Guardian et au Consortium international des journalistes d’investigation, la contribution significative d’Emmanuel Macron à la fondation de l’organisation Uber en France concerne le « marché confidentiel ».  » entre les deux rassemblements. En échange de son départ de la fondation d’UberPop, le ministre de l’Économie de l’époque s’était engagé à travailler avec les circonstances pour l’admission à la vocation de chauffeur VTC. Un dispositif conclu en 2015 mais dont les enjeux ne seront suivis qu’en 2016 avec l’entrée en vigueur du prétendu règlement Macron 2, selon Le Monde.

Benedict Lemieux

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