Ses assistants ont nié les allégations selon lesquelles il était encore archevêque à l’époque Joseph Ratzinger impliqués dans la dissimulation des abus, rapporte l’agence de presse française AFP.
« Je ne peux qu’exprimer mon opinion à toutes les victimes d’abus sexuels Profond honte, sa profonde tristesse et sa sincère demande de pardon », l’homme de 94 ans a écrit dans une lettre publiée en réponse à l’enquête allemande précédent mois.
« J’ai eu de grandes responsabilités dans l’Église catholique. Ma douleur est d’autant plus grande à cause des abus et des fautes qui ont eu lieu dans ces différents lieux au cours de mon mandat », il ajouta.
L’ancien pape était dans un rapport de cabinet d’avocats en janvier pôle ouest Spiker Wastl accusé d’avoir délibérément omis d’agir dans quatre affaires de maltraitance d’enfants par des prêtres pendant son mandat d’archevêque de Munich-Freising.
Benoît XVI et ses assistants ont fourni des informations erronées
Benoît XVI et ses assistants ont admis en janvier avoir fourni par inadvertance des informations erronées aux auteurs du rapport lorsqu’ils ont nié la participation de l’archevêque à une réunion sur le sacerdoce. Pierre Hullermannu en 1980. Hullerman il a été accusé d’avoir abusé d’un garçon de 11 ans, mais malgré son passé, il a été muté à des fonctions pastorales et a répété les infractions pendant plusieurs années.
Ce faisant, ils ont nié que toute décision ait été prise lors de cette réunion de réaffecter le prêtre à des fonctions pastorales, mais ont déclaré aujourd’hui qu’il n’avait pas été question d’abus.
« Dans aucun des cas analysés par le rapport d’expertise, Joseph Ratzinger n’a eu connaissance d’abus sexuels ou de soupçons d’abus sexuels commis par des prêtres. Le rapport d’expertise n’apporte pas de preuve contraire », a-t-il ajouté. ont-ils écrit dans un communiqué.
L’ancien pape a exprimé dans une lettre « profondément blessé »que certains sont à lui « négliger » la participation à une réunion en 1980 a été utilisée pour jeter le doute sur sa sincérité et l’a même qualifié de menteur.
C’est le Vatican précédent mois a défendu l’ancien pape, affirmant qu’il l’avait fait « combattu » contre les abus sexuels. Avant son élection comme pape, Ratzinger a dirigé la congrégation doctrinale du Vatican, lui donnant la responsabilité ultime d’enquêter sur les cas d’abus, a rapporté l’AFP.
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