Contrairement à la cérémonie d’ouverture, qui s’est déroulée le long d’un parcours de six kilomètres, incluant la navigation sur la Seine, la cérémonie de clôture des Jeux olympiques s’est déroulée dans le stade.
La cérémonie de clôture au Stade de France a débuté à 21 heures, et on ne sait pas grand-chose du programme, les organisateurs n’ayant pas révélé de détails avant la partie finale. La cérémonie a commencé par le transfert de la flamme olympique, en fait une simple flamme, au Stade de France, où a retenti l’hymne national français, la célèbre Marseillaise. Ensuite, les porte-drapeaux sont entrés en premier dans le stade. Le drapeau slovène a été apporté par M.olphiste Pia Babnik et un cerf-volant argenté Toni Vodisek. Ils ont été suivis par le reste des athlètes qui n’étaient pas encore rentrés chez eux.
Un peu avant 21 heures, alors que les athlètes remplissaient encore le stade, c’était l’heure du karaoké, où une grande partie du stade a prêté sa voix à quelques chansons françaises bien connues, ainsi qu’à la célèbre composition des rockers britanniques Queen. Nous sommes les champions, bien sûr, les Jeux Olympiques ne peuvent pas se dérouler sans vous.
Ensuite, il y a eu la remise des médailles du marathon. Habituellement, cette partie est réservée aux marathoniens, mais à Paris, il a été décidé qu’en l’honneur des femmes, cette fois-ci, les marathoniens courraient en dernier. La Néerlandaise a remporté la discipline royale Sifan Hassan. La coureuse est née en Éthiopie et est arrivée aux Pays-Bas en tant que réfugiée à l’âge de 15 ans. La médaille d’argent a été décernée à une Éthiopienne Tigst Assefet le bronze est allé à une femme kenyane Hellen Obiri.
Le stade fut alors plongé dans l’obscurité et le soi-disant voyageur d’or descendit du ciel vers la terre, c’est-à-dire vers tous les continents du monde qui ornent le centre du stade, qui acceptèrent le drapeau grec et le plantèrent dans le sol. Un symbolisme et une abstraction qui dépassent la compréhension de l’auteur de ces lignes. À en juger par l’entrée sur le site officiel des Jeux olympiques, l’inspiration du voyageur d’or se trouve dans l’histoire française. Celle-ci fut ensuite rejointe par des petits hommes blancs qui, en frappant le sol, firent apparaître les anneaux olympiques de la terre. En fait, ce sont des acrobates (habillés en extraterrestres ?) qui exécutèrent ensuite des acrobaties sur ces mêmes circuits olympiques. Dans ce spectacle, un ténor français interpréta l’hymne homérique au dieu Apollon Benjamin BernheimIl était accompagné au piano dans les airs par un pianiste et compositeur français Alain Roche.
Les épreuves olympiques se sont terminées, l’obscurité contemplative a ensuite laissé place à la lumière. Le groupe français Phoenix a joué et la fête a repris. Les partitions musicales ont été suivies de discours. Le président du comité d’organisation des Jeux olympiques a pris le micro Tony Estanguet et président du Comité international olympique Thomas Bach. Quand il y eut assez de paroles, les deux maires de Paris arrivèrent également sur scène Anne Hidalgo et Karen Bassle maire de Los Angeles, prochain lieu d’accueil des Jeux olympiques d’été. Il est temps de remettre le drapeau olympique et l’hymne national américain chanté par la chanteuse californienne HER Puis le stade s’est terminé, Hollywood a commencé, il est arrivé Tom Cruisequi a sorti le drapeau olympique du stade sur une moto. Il est arrivé à Los Angeles quelques instants plus tard. Mission impossible ? Bien sûr. Red Hot Chili Peppers, Billie Eilish, Snoop Dogg et Dr. Dre. S’en est suivi un retour à Paris, où la flamme olympique a été éteinte, et l’événement a été clôturé par la chanteuse française Yseult avec My Way de Frank Sinatra.
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