Les entretiens de Macron avec Poutine ont eu lieu à Moscou le 7 février. Lors des entretiens, les deux dirigeants se sont assis aux extrémités opposées d’une table de quelques mètres de long, évoquant ainsi la crise ukrainienne. Des sources anonymes ont déclaré plus tard à Reuters que Macron avait une longue table avec Poutine parce que le président français avait refusé de se tester avec un test PCR russe avant les pourparlers parce qu’il ne voulait pas que Moscou obtienne son ADN.
Les journalistes russes ont donc interrogé Peskov à ce sujet lors d’une conférence de presse régulière. Il a répondu que Macron ne voulait pas vraiment être testé en Russie, mais a refusé de répondre à la question de savoir si le Kremlin informe les invités étrangers des tests de Poutine et si Moscou accepterait que Macron soit testé non pas par des médecins russes mais par des médecins français. « Je ne voudrais pas donner plus de détails à ce sujet, je ne peux pas aller plus loin », dit Peskov.
Un porte-parole du Kremlin a également déclaré que les délégations observaient parfois d’autres mesures pandémiques que le Kremlin lors de visites à l’étranger. Dans un tel cas, selon Peskov, le Kremlin doit prendre des mesures supplémentaires pour « protéger la santé » du président russe et de ses invités, selon l’agence AFP. Peskov a également précisé que la table à laquelle les présidents se sont rencontrés la semaine dernière mesure environ six mètres de long et organise occasionnellement diverses réunions.
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