De nombreux descendants d’anciens dirigeants vivent dans le monde entier, convaincus que l’abolition de la monarchie les a privés du droit de gouverner et, bien sûr, d’une richesse énorme. L’un d’eux est l’aristocrate parisien Jean d’Orléansdescendant Ludvika Filipa I., qui a gouverné la France au XIXe siècle. Jean d’Orléans est persuadé qu’il devrait être roi de France, que ce pays européen a depuis longtemps cessé d’être un royaume, il s’y intéresse peu, et en même temps exige que l’hôtel particulier qui appartenait autrefois à sa famille lui soit restitué à lui pris en charge par l’Institut français.
Jean d’Orléans est persuadé qu’il devrait être roi de France, que ce pays européen a depuis longtemps cessé d’être un royaume, il n’a que peu d’intérêt
L’homme de 56 ans affirme qu’il ne s’occupe pas bien et assez consciencieusement de l’institut du Château Chantilly et du domaine associé, ce qui était l’une des conditions d’Henrik d’Orléans lorsqu’il fit don de l’hôtel particulier à l’institut en 1886. Selon Jean d’Orléans, ses allégations sont très faciles à prouver, car l’hôtel particulier, qui possède l’une des plus riches collections d’art de France, s’est retrouvé ces dernières années dans de sérieuses difficultés financières. L’entretien de l’immense bâtiment et de la propriété encore plus grande coûte des millions d’euros par an, et une perte de revenus supplémentaire a été causée par une pandémie ou des mesures pour freiner la propagation du nouveau coronavirus, qui les a laissés sans visiteurs pendant près d’un an. Afin de sauver la propriété, ils veulent céder l’un des bâtiments appartenant à la propriété à un homme d’affaires, qui le transformera en hôtel de charme.
D’Orleans est complètement consterné par l’idée et a fait de son mieux pour l’empêcher, mais après des années de rédaction de candidatures et de collecte d’offres, l’institut n’a réussi. Au moins pour l’instant. D’Orléans n’a toujours pas baissé les bras et envoie régulièrement des plaintes et des documents aux autorités pour prouver que l’intention de l’institut est contraire à l’accord qu’il a conclu avec son ancêtre il y a plus d’un siècle.
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