Les tensions entre Français et Marocains montent

En demi-finale de la Coupe du monde, le choc entre la France et le Maroc promet de susciter bien plus que les passions du football. La grande communauté des Marocains vivant en Europe, notamment en France, est de plus en plus bruyante et exubérante à chaque nouveau succès, ce qui bouleverse les locaux.

Incidents en Belgique

Tout a commencé lors de la phase de groupes, lorsque les supporters marocains ont envahi les rues de Bruxelles après une victoire 2-0 sur la Belgique. De nombreuses actions sont nées de la volonté de provoquer les habitants, qui méprisent encore souvent les immigrants du nord-ouest de l’Afrique. Il y a eu des affrontements avec des supporters de la Belgique et la police, et certaines personnes ont été grièvement blessées. Une histoire similaire s’est déroulée après le match des huitièmes de finale, à savoir à Madrid, quand ils Hakim Ziyech et ses coéquipiers ont déchaîné la fureur. Cela n’a pas empêché les vantardises même après la victoire sur le Portugal. Outre Rabat, Marrakech et Casablanca, les fans des Lions de l’Atlas ont également connu le succès à Istanbul, Madrid, Paris, Bruxelles et, enfin, à Jérusalem, où la police est également intervenue en raison de chants visant la Palestine. Des incidents répétés semblent encore plus probables dans la capitale belge, tandis qu’en France on craint également d’éventuelles perturbations avant, pendant et après la demi-finale entre la France et le Maroc. Déjà, les autorités appellent à l’apaisement des passions, notamment chez les Marocains vivant en France.

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La première confrontation à Paris

Les têtes étaient déjà chaudes après les quarts de finale de samedi, lorsque les Marocains se sont d’abord qualifiés, puis les Français. A Paris, les premiers affrontements entre les supporters des deux équipes nationales et la police ont eu lieu. Les scènes dont personne ne veut même après les demi-finales sont inquiétantes, de nombreux journalistes se demandent pourquoi il n’y a pas d’émeutes comme celle-ci au Maroc et qui est à blâmer et qui sera tenu pour responsable si les scènes désagréables se répètent mercredi soir.

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Christelle Bret

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