En mer à proximité de la commune des Sables-d’Olonne près de La Rochelle, trois sauveteurs ont perdu la vie ce matin, selon les médias français. Le bateau des membres de la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM) s’est retourné lors d’une tempête à environ 800 mètres du rivage, avec sept membres d’équipage à son bord. Le décès du malheureux trio a été confirmé en préfecture de Vendée, les quatre autres secouristes n’ont pas été blessés. Après que le bateau se soit retourné, ils ont réussi à nager jusqu’au rivage.
Les sauveteurs recherchaient le bateau de pêche disparu. Même celui-ci n’a pas encore été découvert, il y a au moins un pêcheur dessus, peut-être plus. « Cette perte tragique suscite beaucoup d’émotion dans la famille des sauveteurs en mer, elle rappelle les dangers que prennent chaque jour les bénévoles pour sauver les personnes en difficulté en mer », a écrit le président de la SNSM. Xavier de la Gorce.
Le modèle de canot de sauvetage a été conçu de telle sorte que s’il devait chavirer, il reviendrait automatiquement à sa position d’origine. PHOTO : Régis Duvignau/Reuters
Selon les sauveteurs, ils utilisaient un bateau censé être utilisable dans toutes les conditions météorologiques et conçu pour être insubmersible. En cas de chute, il devrait automatiquement revenir à sa position initiale. Mais au lieu de cela, il a accidentellement atterri la tête en bas sur un rivage rocheux. La hauteur des vagues atteignait quatre mètres.
Selon le maire des Sables-d’Olonne Yannick Moreau est le pêcheur à la retraite disparu qui complétait sa pension en attrapant des crabes. Comme il l’a ajouté, la décision de chasser par de telles conditions était incompréhensible.
Un sauveteur retire une partie du navire SNSM détruit. PHOTO : Sébastien Salom-Gomis/AFP
Miguel abattait des arbres et vidait les stations balnéaires
Comme il est dit BBC, les vents dans une zone plus large ont atteint hier des vitesses allant jusqu’à environ 150 kilomètres par heure, et le phénomène est décrit comme inhabituel pour cette partie de l’année, qui coïncide avec le début de la saison touristique. Lors de la tempête, baptisée Miguel, des arbres sont tombés, les lieux touristiques sont vides et les transports publics sont perturbés.
Miguel a frappé pour la première fois en Galice et dans les Asturies
Miguel causa les premiers problèmes en Galice et dans les Asturies en Espagne, puis plus largement le long du golfe de Gascogne, jusqu’aux côtes françaises. Sur l’île d’Yeu, au large de Nantes, des vitesses de vent d’environ 130 kilomètres par heure ont été mesurées aujourd’hui, sinon l’alerte orange a été déclenchée dans dix départements français.
Ils mettent en garde contre les dégâts potentiels causés par les tempêtes, en particulier sur les arbres. Le trafic ferroviaire est également réduit. Le fort fouettement des vagues de l’Atlantique, rare au mois de juin, est signalé depuis la côte du port de Royan. Le vent et les vagues ont déjà endommagé les navires.
PHOTO : Xavier Léoty/AFP
Miguel a aidé à découvrir le laboratoire de cocaïne
De fortes pluies et des vents pouvant atteindre des vitesses de 100 kilomètres par heure sont également annoncés plus au nord, aux Pays-Bas, où hier matin les vents atteignaient déjà des vitesses élevées.
Aux Pays-Bas, Miguel a également joué un rôle légèrement différent. Il a aidé la police. Lorsqu’il a abattu un arbre dans la région de Zélande, la police a détecté des hommes suspects qui y séjournaient, et ces hommes ont ensuite détecté une odeur étrange. Un laboratoire de transformation de cocaïne a été rapidement découvert.
PHOTO : Sébastien Salom-gomis/AFP
Dans l’après-midi, Miguel atteindra également la Manche et certaines parties de la Grande-Bretagne, mais selon les prévisionnistes, il s’affaiblira.
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