Probablement tout le monde connaît les trois mousquetaires. Mais le vrai d’Artagnan a vécu, et voici sa fière histoire

Amoureux et guerrier, plein de vie, fier, intelligent, un peu fou de jeunesse et parfois trop désarmé face à l’appel du cœur, mais toujours noble, juste, moral et chevaleresque.

Les Trois Mousquetaires de Dumas se démarquent surtout des personnages principaux, mais la représentation littéraire de d’Artagnan se situe probablement quelque part au milieu. Le jeune homme qui attend un mousquetaire n’est pas un personnage fictif, dit-il portail iDnes.cz.

Et Dumas l’a honnêtement admis dans la préface du roman. Il a expliqué qu’en étudiant les ouvrages sur le roi Louis XIV. il tombe sur un livre dans la bibliothèque du livre du mousquetaire et écrivain Gatien de Courtilza de Sandras, intitulé Souvenirs de Mr d’Artagnan, publié à Amsterdam en 1700.

Il avoua qu’il avait échoué dans cette histoire depuis la première intrigue, où l’auteur d’Artagnan racontait comment il avait croisé MM. Porthos, Aramis et Athos en se rendant chez le capitaine mousquetaire.

Au fait, il y avait des frères dans la version de Sandras. Dumas fut tellement enlevé qu’il élabora davantage sur le sort de d’Artagnan. Cependant, cela ne change rien au fait que d’Artagnan a réellement vécu.

De la Gascogne au Grand Paris

Il est né Charles de Batz de Castelmore vers 1611-1615 près du village de Lupiac dans le sud-ouest de la France, comme l’a révélé l’historien Charles Samaran au début du XXe siècle. Sa maison en pierre natale, qui compte aujourd’hui deux étages, se dresse encore aujourd’hui à côté du village.

Il était le plus jeune de trois frères et trois sœurs, sa famille équilibrée entre origines aristocratiques et marchandes et non parmi les plus riches. Néanmoins, le petit Charles a reçu une formation dans des matières comme les mathématiques, la géographie, le français bien sûr, mais aussi dans des compétences très pratiques, comme l’équitation et les bases de l’escrime à l’époque.

Il aspirait à une carrière militaire. Ainsi, comme ses frères, sa région natale, pauvre, souvent en proie à la famine, aux maladies et aux catastrophes naturelles, part et va là où on le retrouve au début du roman de Dumas.

Vers le Paris magnifique, vibrant, écrasant et puant.

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Benedict Lemieux

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