Réalisateur franco-argentin sur le nouveau film Vorteks, qui parle de la démence : « Le cinéma est une merveilleuse école de la vie et j’espère que mon film sera vu par ceux qui n’ont pas encore vécu cela dans leur propre vie »
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Le réalisateur franco-argentin Gaspar Noé se présente cette année au public du Liff avec un film légèrement différent de ceux auxquels il était habitué jusqu’à présent. Au lieu de longs métrages subversifs et visuellement sauvages comme Irréversible (2002), Dans le vide (2009), Ljubezen (2015) et Vrhunec (2018), le réalisateur semble s’être un peu calmé, car dans son nouveau film Vorteks (Vortex, 2021) parle d’un sujet beaucoup plus sérieux – la démence. Le réalisateur a choisi des noms célèbres du cinéma européen dans le rôle d’un couple de personnes âgées. La femme est jouée par Françoise Lebrun du classique français Mother and Whore (1973), et son mari n’est autre que la légende italienne du réalisateur Dario Argento (Suspiria). Lors de la première mondiale du film, Noé a révélé que le tournant thématique et stylistique s’inspirait d’une vie dure…
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