Les grandes entreprises énergétiques européennes, dont Slovenian Petrol, ne font en réalité rien pour la transition vers une énergie plus propre et « font juste semblant » de travailler conformément à leurs engagements climatiques, a annoncé l’organisation non gouvernementale environnementale Greenpeace. Comme ils l’ont prévenu, on ne peut pas faire confiance à ces entreprises pour s’autoréguler.
Greenpeace a préparé et présenté une analyse d’un rapport de 110 pages rédigé par un expert allemand dans le domaine de l’énergie. Steffen Bukoldrapport des agences de presse étrangères.
L’année dernière, l’étude a examiné le travail de 12 groupes énergétiques européens et il s’est avéré qu’ils ne généraient que 0,3 % de leur production totale à partir de sources renouvelables.
Comme l’ont indiqué les organisations non gouvernementales, l’année dernière, 92,7 pour cent de leurs investissements étaient liés à l’utilisation continue du pétrole et du gaz, et seulement 7,3 pour cent à des changements dans l’orientation d’une production d’énergie durable et de solutions à faibles émissions de carbone.
L’autorégulation ne fonctionne pas
« Ces entreprises ne doivent pas être autorisées à s’autoréguler… C’est pourquoi nous demandons aux gouvernements d’intervenir pour le bien-être des citoyens. L’autorégulation ne fonctionne pas dans ce secteur », a déclaré un militant de Greenpeace à l’AFP. Jakub Gogolewski.
Le rapport de Greenpeace cite les données de six compagnies pétrolières internationales basées en Europe, à savoir Shell, TotalEnergies, BP, Equinor, Eni et Repsol. Il comprend également six sociétés pétrolières et gazières nationales, à savoir OMV (Autriche), PKN Orien (Pologne), MOL (Hongrie), Wintershall Dea (Allemagne, filiale BASF), Petrol Group (Slovénie) et Ina Croatia (Croatie). .
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