Nous pouvons être fiers de notre différence, mais cela ne veut pas dire que nous ne pouvons pas être heureux ensemble, a dit un jour l’homme politique et poète sénégalais Léopold Sédar Senghor. Sa pensée large et universellement belle est également mise à l’épreuve en France, où juste avant le premier tour de l’élection présidentielle, il y a tant de tension politique et de mépris qu’il est difficile d’imaginer comment les Français pourraient peu après l’élection, la présidentielle d’avril et les parlementaires June rassure collectivement ce qu’ils ont mis en place : peu importe qui est le gagnant.
Une sorte d’assaut doit être observé de tous les côtés. Le candidat d’extrême droite Éric Zemmour, par exemple, s’il était président, créerait un ministère de la remigration et de l’expulsion, comme il l’a dit hier à la radio. Infos France, au moins un million de personnes en cinq ans. L’idée n’est pas nouvelle, car en 2007 le conservateur Nicolas Sarkozy rêvait du ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale, et depuis, il est devenu plus difficile d’être dans la société française d’année en année. seconde, parce que – moralement et culturellement, pas seulement économiquement – la droite se radicalise de plus en plus sans vergogne. Le sociologue et historien Pierre Rosanvallon, par exemple, il y a quelques jours dans agenda Libérationmais pas pour la première fois, a décrit le président Emmanuel Macron comme la « figure centrale de la droite française » en raison de son conservatisme, de son autoritarisme et de son manque de sociabilité.
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