En quête de vision artistique et de sens

L’Utopie Hongroise Le Ciel de Plastique Blanc montre l’image apocalyptique de Budapest dans cent ans. Et il glorifie l’amour – même entre les gens et les plantes.

Salto Films, Artichaut, Proton Cinema

Bien que l’horaire légèrement décalé promettait plus de chaleur et une atmosphère printanière, j’ai quitté la scène du combat de cette année pour les Bears de Berlin dans l’étreinte d’un vent glacial et d’averses de neige. Ceux de l’ouest de l’Allemagne ont menacé de retarder le retour via la capitale bavaroise, mais tout s’est bien passé. Tout à fait différent de l’arrivée, car je suis arrivé à Berlin avec quelques heures de retard, peut-être grâce à une excavatrice un peu trop zélée qui a paralysé le trafic aérien du plus grand aéroport d’Allemagne ce malheureux mercredi. Mais à cause de cela, j’ai rapidement visité la Pologne pour la première fois et j’ai rencontré un modèle ukrainien agréable, ce qui n’est pas non plus anodin.

L’espoir que les films apporteraient plus de soleil et de chaleur après les premiers jours était toujours noyé dans les histoires traumatisantes qui dominent apparemment le monde d’aujourd’hui. Du moins si l’on en croit les réalisateurs et les scénaristes. Mais ce n’est pas nouveau. Mais le jury de cette année était nouveau et d’une diversité prometteuse, avec une « mariée vampire » en tête. C’est ainsi que Kristen Stewart reste affectueusement dans ma mémoire grâce à son premier rôle très médiatisé dans la trilogie Twilight. Déjà le premier matin, j’ai assisté à la conférence de presse par pure curiosité et à la recherche d’un indice sur la façon dont les membres du jury jugeront les films cette fois. Et j’ai été surpris d’obtenir une réponse à mon éternelle question, comment se fait-il que des films qui ne sont en aucun cas les meilleurs soient récompensés.

Damien Dupont

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