L’arrestation du cerveau présumé dans le scandale du trafic de faux maîtres anciens

Les carabiniers sont dans un endroit italien Castelnovo Monti, non loin de la résidence de Ruffini dans la province de Reggio Émiliearrêté une personne anonyme qui y vivait « Critique d’art de 77 ans, » le journal italien a été le premier à rapporter Timbre Reggiana.



Photo : EPA

Un mandat d’arrêt daté du 14 juillet 2019 indique qu’il était recherché par la police française pour « fraude, blanchiment d’argent et contrefaçon d’œuvres d’art« . Toutes ces informations correspondaient à Ruffini et au mandat d’arrêt contre lui. Le mandat de perquisition faisait suite à une enquête de sept ans sur toute une série de prétendus faux tableaux de maîtres anciens vendus au cours des dernières décennies pour des dizaines de millions d’euros.

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Le suspect a insisté sur son innocence
Giuliano Ruffini a été arrêté le 18 en novembreun journal britannique Les temps cependant, il a confirmé l’identité de la personne arrêtée un jour plus tard. « Après avoir appris par les journaux que M. sont en train de chercherinformé le commandant par l’intermédiaire de son avocat Castelnova Monti qu’il voulait se rendre, ce qu’il a fait, se rendant aux carabiniers locaux en fin de matinée« , selon le journal Stampa Reggiana.

C’est la semaine dernière L’art Journal signalé que les autorités sont en train de chercher Ruffini, mais ils ne l’ont pas trouvé. Le mandat d’arrêt à son encontre a été suspendu par la Cour suprême jusqu’à la fin de la procédure fiscale à son encontre. Il a été acquitté de fraude fiscale par le tribunal. Ruffini a toujours clamé son innocence, affirmant que les peintures n’étaient pas truquées et que les attributions aux maîtres anciens relevaient de la responsabilité d’experts, de conservateurs et de marchands qui ont confirmé leur authenticité.

Les contrefaçons reviennent à leurs propriétaires
Parmi les œuvres qu’il a vendues par décennies, était, entre autres, un faux en toile Vénus de 1532, propriété du prince Liechtenstein, et qui lui est attribué À Lucas Cranach l’Ancien. Il a fait une bonne affaire, par exemple, aussi pour une fausse photo Saint Cosmequ’il aurait créé en 1544 Agnolo di Cômemieux connu comme Bronzino. Les deux pièces ont été rendues à leurs propriétaires après avoir été considérées comme des contrefaçons par la science médico-légale.

Dans la foulée, ils découvrent également des points communs avec d’autres œuvres d’art saisies à Paris, qui leur sont attribuées. Pierre Bruegel à l’aîné et El Grecomais ce sont tous des faux présumés, écrit The Art Journal.

Damien Dupont

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