Le président français Emmanuel Macron a déclaré aujourd’hui que la proposition de la Commission européenne pour une soi-disant taxonomie, un système de soutien aux investissements verts, était bonne.
Il a rappelé que le nucléaire et le gaz naturel faisaient partie des investissements verts. La France a pris la présidence de l’Union européenne début janvier.
Par exemple, la Slovaquie et la République tchèque, qui prendront la présidence de l’Union européenne en milieu d’année, réclament depuis longtemps l’inscription du nucléaire et du gaz naturel sur la liste des investissements verts.
La France est aussi partisane du noyau dur. Les opposants aux deux technologies, comme l’Autriche et l’Allemagne, rejettent la soi-disant taxonomie, et l’Espagne est également critique. Cependant, en raison de certaines conditions, les partisans de l’énergie nucléaire appellent également à la prudence.
La Commission européenne prévoit de donner aux investisseurs des indications sur les technologies dans lesquelles il vaut la peine d’investir. Les responsables de la Commission affirment que seuls les projets répondant à des critères très stricts seront éligibles au label d’investissement durable.
Par exemple, le plan prévoit que d’ici 2050, les centrales nucléaires devront disposer de dépôts profonds pour leurs déchets qui n’existent pas encore.
L’aide éventuelle ne s’appliquera qu’aux projets qui remplacent la production d’énergie ou de chaleur à partir du charbon ou d’autres sources moins propres.
L’exécutif européen suppose que les investissements iront au nucléaire pendant au moins les vingt prochaines années et au gaz naturel pendant dix ans.
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